Dans l'ombre des siècles passés,
Où les échos de nos ancêtres résonnent,
Se trouve une date, gravée dans l'éternité,
Un moment où la fraternité fut couronnée.
Le 14 juillet 1789, un cri s'élève,
La Bastille, symbole d'oppression, s'effondre,
Et dans son sillage, un nouvel esprit s'achève,
Celui de la liberté, qui dans les cœurs abonde.
Ce jour, nous le célébrons,
Pas seulement pour la chute d'une forteresse,
Mais pour l'union qui en jaillit, tel un don,
La fraternité, notre plus belle promesse.
Ainsi, chaque année, quand vient le jour,
Nous nous souvenons de cette fraternité,
Qui, au-delà des troubles, reste notre amour,
Un lien indéfectible, tissé d'égalité.
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Ce célèbre poème sur la prise de la Bastille et l'esprit de fraternité qui en a découlé, un thème résonne avec l'histoire et glorifie les valeurs républicaines.
Voici un autre résumé poétique qui reflète l'espoir de la révolution française et l'enthousiasme des événements marquants de cette année, tout en étant court et engageant.
Liberté, égalité, fraternité,
Un cri s'élève en ce jour d'été.
La Bastille tombe sous la volonté,
D'un peuple assoiffé de liberté.
Le quatorze juillet mille sept cent quatre-vingt-neuf,
Marque d'un souffle nouveau, le grand renversement.
La fraternité s'embrase, dans chaque cœur se trouve,
L'espoir d'un monde meilleur, d'un futur éclatant.
Des chaînes de l'oppression, nous nous sommes libérés,
Sur les pavés de Paris, un nouveau monde est né.
Avec la prise de la Bastille, un symbole est tombé,
Et dans le cœur des Français, la Révolution s'est enracinée.
Dans la fraternité, nous trouvons notre force,
Unissons nos voix, pour que jamais ne s'efforce,
De briser ce lien, tissé par l'espérance,
De la nation française, en sa renaissance.
Victor HUGO , à sa façon évoqua cette journée
Qu’il est joyeux aujourd’hui
Le chêne aux rameaux sans nombre,
Mystérieux point d’appui
De toute la forêt sombre !
Comme quand nous triomphons,
Il frémit, l’arbre civique ; Il répand à plis profonds
Sa grande ombre magnifique.
D’où lui vient cette gaieté ?
D’où vient qu’il vibre et se dresse,
Et semble faire à l’été
Une plus fière caresse ?
C’est le quatorze juillet.
À pareil jour, sur la terre
La liberté s’éveillait
Et riait dans le tonnerre.
Peuple, à pareil jour râlait
Le passé, ce noir pirate ;
Paris prenait au collet
La Bastille scélérate.
À pareil jour, un décret
Chassait la nuit de la France,
Et l’infini s’éclairait
Du côté de l’espérance.
Sans être trop long, ce poème est conçu pour être à la fois informatif et inspirant, capturant l'essence des événements de 1789 qui ont mené à la prise de la Bastille. Il peut servir à chacun d'entre nous d'introduction ou de conclusion à un article ou nous inviter à réfléchir à la signification de ces événements historiques et à leur impact sur les valeurs républicaines de la société moderne.
Si vous avez un événement spécifique en tête, n'hésitez pas à nous le faire savoir, et peut-être pourrions nous, si vous avez de l'inspiration, créer un contenu pour la circonstance.
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